En France, on compte en moyenne 48 m2 d’espaces verts par habitants dans les 50 plus grandes villes du pays. Cette superficie tend à se développer, mais des inégalités demeurent selon les quartiers et les villes. D’après l’observatoire des villes vertes qui prend en compte de nombreux critères (accessibilité, investissement, préservation de la biodiversité, promotion et entretien…), les villes françaises les plus vertes sont dans l’ordre : Angers, Nantes, Strasbourg, Lyon et Caen. Ces villes consacrent en moyenne 46, 50 € par an et habitant à la végétalisation urbaine. Souce : revue Zadig « La nature et nous » / palmarès des villes vertes...
Ailleurs, la planète se reboise
Convaincus de la nécessité de mieux protéger les forêts, une centaine de pays ont intégré le changement d’affectation des terres et la foresterie dans leurs contributions déterminées au niveau national pour réduire les émissions de carbone. Correctement gérées et protégées, les forêts conserveront leur fonction de puits de carbone naturels, qui renforcent la résilience des paysages ruraux. Plantés dans les champs, les arbres limitent l’érosion, participent à l’amendement des sols et limitent le stress hydrique et thermique sur les cultures. En fournissant nourriture et fourrage en période de soudure, ils peuvent également accroître la sécurité alimentaire et renforcer les capacités...
Une planète de plus en plus verte ?
Selon une étude de la Nasa publiée dans la revue Nature en février dernier, la planète s’est végétalisée depuis ces dernières années. Les experts constatent que la Terre a gagné 5 % de surface verte entre 2000 et 2017, soit l’équivalent de la forêt amazonienne. On doit cette progression principalement à la Chine et l’Inde, avec une reforestation massive dans le pays pour le premier et le développement des terres cultivées pour le second. Pendant que l’Amazonie se consume, la chine plante, ouf ! Souce : www.l’infodurable.fr